samedi 23 mai 2009

"Ici, on aime les animaux" la chronique de Laureline (ça faisait longtemps)

 Ton animal de compagnie définit ton niveau de hypitude, au même plan que tes sorties, ta musique, tes fringues, ton quartier. Mais, lecteur,  détrompe-toi tout de suite: je n’ai pas ni carlin ni jack russel (comme Antoine Bernard). Certes, je lis DOGS, le VOGUE des chiens quand on me le prête. Je ne vais pas plus loin.

Et bien que mon idéal animalier ressemble plutôt à ça : 



Je vais te parler de hérisson d’Afrique, Atelerix, nous précise wikipédia. 

Et pas n’importe lequel : Hermann, le mien !

Âgé de seulement quelques semaines, Hermann dort TOUTE la journée. Le soir,  il s’éveille pour manger et faire de la roue. Parce qu’avec ses pates ultra agiles, tous les soirs, comme Minus et Cortex en leur temps, il essaye de conquérir le monde en allant vers l’infini et l' au-delà.

Il entre dans sa roue, cours, cours, le plus vite possible, s’arrête et regarde sur le côté. S'il est toujours au même endroit, il recommence. Et c’est pour ça qu’on l’aime ! 

Sinon, pour les relous des questions : c’est un hérisson d ‘Afrique, pas d’Europe, donc pas en voie d’extinction, il ne porte aucune maladie, ni puce mortelle pour l’homme. Oui, il gardera cette couleur toute sa vie et ne grossira pas beaucoup. Si tu en veux un aussi, il faut se déplacer en Allemagne. Il vit 7 ans, ne mord pas. Et ne pique que quand il a peur. Le reste du temps, il se laisse caresser tout calmement ! 

Je vous laisse avec Hermann. Vous noterez qu’il ne se balade jamais sans ses polaires A Bathing Ape.



Une chronique de Laureline Lévy


1 commentaire:

  1. C'est important les animaux. C'est bien de prendre des animaux africains pour les sauver de la misère et puis pour rigoler. Les hérissons sont des gentils animaux qui méritent qu'on les respecte assez pour se moquer d'eux.
    Ce n'est pas du racisme, c'est de l'amour.

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